La Forêt Enchantée

[HRP]Bon voila un de mes RPs (Role Playing) j'ai encore deux trois amélioration a faire, je pense entre autre a plus décrire les actions etc.... bref voila j'éditerais je ne pense pas qu'il y aura une suite^^[/HRP]

La forêt enchantée.

Le soleil était haut dans le ciel ce jour là, nous sommes à Oural, ville réputé pour ses immenses forêts. Pierre était un beau jeune homme âg' de dix sept ans, il était brun au yeux d'un vert resplandissant. Il descendait d’une famille pas très riche, mais pas pauvre non plus. Il habitait a Oural depuis plus d’un mois maintenant, il s’était fait plein d’ami. Avant de venir emménager a Oural il vivait a Al-Chen dans une modeste demeure avec ses parents. Dans sa nouvelle ville, il vivait dans une maison non loin de la route, mais qui possédait un immense jardin. Pierre adorait les chiens, il en avait trois : trois dog allemand. Ce jour-ci, il se promenait dans la rue, avec tao, un de ses dog allemand, il s’était approché d’une des plus grandes forêts de chez lui, personne n’y était allé du moins si des personnes y étaient allés on ne les a jamais revu. Il s’approcha de la forêt et regarda, son chien commença à hurler, il tirait fort, Pierre ne put le retenir, Tao partie a toute allure dans la forêt, Pierre voulait alors aller cherché son père mais quelque chose lui disait de rester et d’entré. Comme si quelqu’un le poussait dans le dos il mit un pied dans la forêt. Cette forêt si sombre était peupler par des immenses chênes, et baobab, a cause des ces arbres, les rayons du soleil de na passé pas. Il s’avança dans la forêt, il entendait son chien qui aboyait, mais l’aboiement partait, il se mit à courir de plus en plus vite mais il ne rattrapa pas les aboiements.

Il marchait désespérément, quand tout à coup il entendit un bruit, un craquement pour être précis, prit de panique il resta aussi immobile qu’un potto. Il se décida alors, il ne vit rien, pas l’ombre d’une brindille écrasé sur le sol, rien. Il reprit son chemin a la quête de son chien, et là le même bruit avait retenti, il commençait a avoir peur, il scruta les arbres a la recherche d’un éventuelle animal. Il continua de marcher, il arriva dans un endroit plus tôt bizarre, au centre de cette endroit ce dressait un immense chêne, il s’approcha, vite, sans regardé par terre, et il se prit le pied dans une racine.

-Aie, dit une vois.
Pierre se releva en vitesse.

-Qui a parlé ??? dit-il affoler.
-C’est moi, dit la voix sur un ton rauque.
-Qui sa moi ?

Pierre ne comprenait pas il parlé avec quelqu’un ou quelque chose qu’il ne voyait pas. Tout a coup il entendit un énorme bruit, il se retourna et vit l’arbre : il bougeait. Pierre était figeait, il sentait un besoin de fuir, un étouffement, mais il ne pouvait plus bougeait. Il se demandait si ces arbres lui voulaient du mal ou du bien ? Pierre avait reprit ces esprit et là d’autre arbre bougé, il partit en courant, et c’est a ce moment qu’il remarqua que certain arbres de la forêt étaient vivant, une raison de sortir encore plus vite. Il comprit vite que les arbres ne voulaient pas qu’il sorte, les arbres sortaient leurs racines pour boucher le passage à Pierre, mais il s’était un champion en gymnastique, il sauta par dessus les racines, passa dessous celles qui étaient trop haute, évita des branches de justesse. Il vit la lumière du jour, enfin il était arrivé, un moment de relâchement et voila qu’une racine lui attrapa le pied qui le tira au fond de la forêt. Il se prit une branche dans la tête ce qui l’assomma.

Quand il se réveilla, il était enfermé dans une cage, celle-ci était faite avec de solide branche. Il vit les arbres parlaient au loin, il essaya de casser les branche mais il était impossible de les casser. Il entendit un bruit derrière lui et il vit sur une branche un lutin, Pierre se frotta les yeux en croyant qu’il avait des hallucinations du au coup sur la tête, mais non le lutin était bien réelle, le petit lutin sortit un coutelas de sa poche et coupa les branche, se coutelas était très bien aiguisé. Pierre sortit de la cage sans bruit et suivit le lutin. Il l’emmena devant un arbre et là le lutin s’arrêta, il mit les mains sur l’arbre et entra dedans, Pierre resta bouche bai devant cela. Le lutin s’impatientant a l’intérieur décida de sortir.

-Toi attendre quoi ?dit-il
-Je ne sais pas comment on fait, répondit Pierre
-Toi aurais dut dire ça plus tôt. toi devoir pensait a chose belle dans ta vie.

Le lutin passa le premier et Pierre suivit, il posa ses mains sur le tronc, réfléchi à quelque chose de bien dans sa vie, y pensa très fort et comme par enchantement il se retrouva à l’intérieur de l’arbre.

Pierre avait pensé à son premier baiser, si tendre, si doux, avec la femme de sa vie, qu'il avait dut quitter en déménageant. En effet on pourrait croire que ceci était une chose triste, mais, pour Pierre non, il pensait que cela renforcerais l'amour qu'il y a entre lui et elle. Il s'envoyait des pigeons voyageur une fois par semaine, et pendant les vacances d'été Pierre allait passer les vacances las bas.

-Nous sommes dans un arbre voyageur, ils y en n’a plusieurs dans chaque forêt de la ville, suis moi, dit le lutin

Il passa le tronc de l’autre coté, et il se retrouva dans une autre forêt. Il y avait plein de petit lutin qui couraient dans tout les sens, grimpant, sautant des arbres, ils avaient construis dans les arbres des cabanes a leur taille bien entendu. Des passerelles passaient d’arbre en arbre, reliant maison a maison, s’était une ville miniature dans les arbres.

- Où sommes-nous ???demanda Pierre
-Nous sommes chez moi, répondit le lutin
-Je vous remercie de votre aide monsieur mais j’ai un chez moi, moi aussi et j’aimerais y retourné.
-Ah, moi pas être au courant, vous vouloir vraiment retourné chez vous ?
-Oui
-D’accord, moi vous ramenez dans la forêt avec les arbres alors, dit le lutin
-Non ce n’est pas chez moi, moi je vis dans une maison dans la ville, je veux y retourné.
-D’accord moi vous ramenez chez vous

Le lutin parti par un chemin, Pierre le suivit, ils avancèrent dans le chemin, au bout de se chemin on apercevait la lumière du jour, arrivait a mis-parcoure le lutin dit :

-Moi pas pouvoir aller plus loin.
-D’accord, merci pour tout

Pierre continua le chemin tout seul, il commença a courir, la lumière se rapprochait, et là il atterrit, sur la route, il arrêta des passant pour leurs demander ou se trouver le quartier riche, il réussi donc a retrouver son chemin. Arriver devant la maison, il se sentie soulager. Enfin de retour. Il alla dans le jardin et vit que Tao était là, il lui sauta dessus.

-Tu es là mon chien au oui oui, dit-il joyeux.
-Ouafff, Ouaffff.